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Solène la baby-sitter

 

Cette histoire s'est passée un week-end à la maison. C'était la fille des voisins, Solène, âgée de vingt-deux ans, qui me gardait pendant la journée pour une réunion importante des mes parents. Arrivant sur la fin de mes douze ans, je commençais à devenir adolescent et ressentais parfois un sentiment d'excitation sexuelle, ce qui était assez nouveau pour moi.

Bref, l'histoire que je vais vous raconter a débutée dans le début de l'après-midi, quand je discutais avec Solène de tout et de rien. Elle a commencé à me raconter ses études de sage femme : principalement des trucs marrants qui lui était arrivés au cours de ses différents stages. Puis je me suis absenté quelques minutes pour aller aux toilettes, et quand j'ai baissé mon pantalon, je me suis surpris à bander en pensant à elle.

En revenant dans le salon, près de la belle Solène, j'ai repenser à ses études de sage femme, à ce moment-là, je ne sais pas trop ce qui m'a prit, peut-être trop d'excitation, sans savoir moi-même où je voulais en venir, et je lui ai tenu à peu près cette conversation :

-Euh, Solène ?

-Oui, m'a-t-elle fait avec un sourire.

-Tu pourrais me soigner ?

-Qu'est-ce que tu as ? Tu t'es blessé ? S'est-elle inquiètée.

-Non, je n'arrive pas ... euh ... j'arrive pas à aller aux toilettes.

Elle m'a regardé et s'est mordue la lèvre inférieure, ne s'attendant pas à ça et ne sachant pas très bien quoi faire.

-Tu es constipé ?

Je commençais à regretter d'avoir engager cette discussion, mais trop tard pour faire marche arrière, sinon elle allait me prendre pour un idiot. Je lui ai fais signe que oui en hochant la tête.

Elle a d'abord hésité, peut-être à appelé mes parents, puis s'est levé vers moi.

-Bon ben je vais voir ce que je peux faire. Retournes toujours aux toilettes pousser, je vais venir voir ce que je peux faire pour t'aider.

Voilà, c'est comme ça que je me suis retrouvé bêtement à l'attendre dans la salle de bain, très anxieux pour la suite. J'étais assis sur la cuvette, mais quand j'ai entendu ses pas dans le couloir, je me suis vite relevé et rhabillé, pour ne pas qu'elle me voit comme ça.

-C'est moi, je vais entrer, a-t-elle dit avant de pousser la porte.

Elle tenait son sac à dos dans la main, qu'elle posa sur le carrelage.

-Toujours pas besoin, me demanda-t-elle ?

J'ai secoué la tête. Je me sentais stupide, piègé par moi-même. J'aurais voulu effacer ces dernières minutes, que ce ne soit jamais arrivé. Mais Solène me rappela à la réalité.

-Bon, je sais pas trop si tu vas aimé, mais en général pour les constipations, on met un suppositoire. Alors essayes encore un peu de pousser, et si vraiment tu n'arrives pas à faire et que ça te fais mal, je veux bien t'en mettre un.

Elle a ensuite quitté la salle de bain en fermant la porte, me laissant le choix. L'évocation du suppositoire faisait ressurgir en moi de lointains souvenirs de mon enfance. Quand j'étais enfant, je me rappelait n'avoir pas bien aimé les suppos, mais la proposition de Solène m'excitait énormément. Un tas de questions trotaient dans ma tête. "Comment allait-elle s'y prendre ?", "allait-elle avertir mes parents ?", "est-ce que ça ferait mal ?". Au fond, même si je n'en avais pas besoin, j'avais vraiment envie de tenter l'expérience, alors, j'ai pris mon courage à deux mains, je suis aller rejoindre Solène au salon, et je lui ai dit que je voulais bien.

"De toute façon elle pensera juste que je suis malade" pensais-je. Solène parut étonnée, elle ne s'attendait pas que j'accepte visiblement. Elle avait dû me laisser le choix en pensant que j'aurais trop honte et que je refuserait poliment, mais comme elle m'avait proposé de me mettre un suppositoire, elle se sentait maintenant obligée de m'en donner un.

-Ok, restes là je vais en prendre un.

Je suis resté debout à la regarder fouiller dans la portière du frigo, et quand j'ai vu qu'elle revenait avec une boîte, j'ai eu subitement un noeud au ventre, de honte et d'avoir menti. Je n'osais plus rien dire. Solène ouvrit la boîte devant moi et prit entre ses doigts un gros suppositoire jaune transparent.

Soudain, en voyant la taille du médicament je n'eus plus envie d'en recevoir. Je devais avoir le souvenir des petits quand j'étais enfant, mais il s'agissait de taille adulte ici. "Mince, qu'est-ce que je lui ai raconté là ? Je n'ai pas envie qu'elle me le mette, je ne suis même pas constipé." pensais-je. J'avais vraiment envie qu'elle change d'avis, qu'elle renonce, mais elle m'avait déjà laissé le choix. Elle attendait maintenant face à moi, avec le médicament dans sa main.

-Il faut enlever ton pantalon, maintenant, me dit-elle.

"Oh non ! Pas ça !"

Je lui tourna le dos, et baissa mon pantalon et mon slip avant qu'elle ne répète ou trouve mon comportement bizarre.

-Ok, fit-elle. Penches-toi un peu en avant s'il te plaît.

Pendant mon mouvement, je sentis ses mains tenir mes fesses et les écarter. Je devais être rouge de honte, et évita de me retourner de peur de croiser son regard. Je sentis je froid du suppositoire toucher mon petit trou. Solène appuya, mais rien de rentra, mon anus devait être trop sec et le médicament glissait sur le côté. Je sentis son doigt pousser plusieurs fois en replaçant correctement le médicament, sans rien réussir à part finir par me faire mal.

-Je suis désolée, fit-elle d'une voix embêtée. Je n'ai encore jamais dû faire ça à un patient.

Moi aussi j'étais embêté, car ces tentatives m'avaient fait bander très fort, impossible à cacher si je me retournais.

-C'est n'est pas grave, répondis-je en restant en position. Je vais attendre que ça passe.

-Non, non, c'est de ma faute, s'excusa-t-elle. Je vais prendre une crème dans mon sac, ça passera mieux.

Elle s'en voulait de me faire subir ça, et en se levant pour prendre son sac, elle remarqua immédiatement mon pénis tendu. On rougit tout les deux en se regardant.

-Désolé, commençais-je. Je ... c'est ...

-Non, c'est pas grave, dit-elle d'une voix plus apaisante, ça peut arriver c'est normal, c'est naturel.

J'étais terriblement confus. "Pourvu qu'on oublie vite cette histoire". Solène venait de se replacer derrière moi, avec un tube de gel qu'elle avait prit à l'instant dans une trousse.

-C'est pas important, je peux attendre que ça passe sinon, fis-je en espérant échapper au traitement.

J'avais peur maintenant, je serrais les fesses pour ne pas avoir de suppo.

-Non attends, encore une petite minute et il sera mit, dit-elle en réécartant mon derrière. Essayes de pousser, tu es tout crispé.

J'ai comprit qu'elle n'abandonnerait pas. Avec sa crème, inutile de résister. Je me suis laissé faire, et j'ai rapidement sentis son doigt froid s'enfoncer dans mon cul, puis ressortir. Solène à ensuite répèter le même mouvement, en poussant entièrement son doigt.

-Voilà, il est mit, fit-elle.

Elle alla se laver les mains pendant que je remettais vite mon pantalon et mon slip.

J'étais à présent assis sur la cuvette. Après dix minutes d'attente ; Solène m'avait demandé de rester dans le divan un petit moment ; j'avais pu aller me soulager. N'étant pas vraiment constipé, le suppositoire agissait bien et me faisait un peu mal au ventre, m'obligeant à pousser. Mais ces effets avaient été minimes à côté du plaisir ressentit : je repensais encore au moment où Solène avait poussé son index dans mon trou de balle, tout en le faisant tourner pour étaler la vaseline. C'était surprenant mais très agréable venant d'une jeune femme.

Avant de pousser, j'avais porté mon doigt à mon anus, et j'avais senti qu'il était tout gras, j'avais même enfoncé mon index à moitié et l'avait ressortir tout huileux.

Ensuite, une fois le suppo et le reste expulsé, je tira la chasse et m'essuya pour regagner le salon.

-C'est bon, ça t'a aidé ? M'a demandé Solène quand j'arriva.

-Oui, mais le suppositoire pique un peu, fis-je.

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