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L'histoire de Billie

 

Le malaise de Billie

 

Depuis plusieurs années déjà, je travaillais l'été en tant qu'entraîneur dans un club de natation féminin : mon passé sportif m'avait fait valoir cette place. Les séances d'entraînement étaient particulièrement excitantes car ce club était essentiellement composé d'étudiantes allant de 18 à 24 ans, chacune très séduisante avec leur maillot de bain très moulant. Je me distrayais souvent à les regarder penchées sur leur plongeoir en attendant mon coup de sifflet.

Un jour, en fin de soirée, alors que la séance hebdomadaire prenait bientôt fin, une des nageuses que je m'occupais : Billie, fit une sorte de malaise alors qu'elle terminait une longueur de bassin. Ses amies, avant qu'elle ne se noie, s'empressèrent de la ramener vers le bord où je la souleva contre moi. La jeune fille respirait bien mais ne réagissait pas, ses yeux restaient clos comme si elle dormait profondément.

Une des amies de Billie proposa d'appeler un numéro de secours mais je lui fit signe que ce n'était pas la peine.

-Je m'en charge, lui dis-je. Je vais l'emmener dans le local de repos. Vous pouvez rentrer chez vous, l'entraînement est terminé pour aujourd'hui.

Je pris Billie dans mes bras et la porta jusqu'à la petite salle où je l'allongea sur un lit dépliable. Une des filles m'apporta ses affaires qui étaient restés dans les vestiaires.

-Vous voulez que je reste aussi pour la surveiller ? Me proposa-t-elle.

-Non, c'est gentil, ça va aller tu peux y aller. À la semaine prochaine.

Elle me salua et quitta le bâtiment à son tour. Une fois la porte claquée, je reporta mon attention sur Billie : la jeune fille frissonnait, elle était encore trempée et il ne faisait pas très chaud. Il fallait la sécher si je ne voulais pas qu'elle tombe malade, cela impliquait de la dénuder complètement moi-même si elle ne se réveillait pas bientôt.

« Après tout, tanpis pour sa pudeur », me dis-je en la voyant frissonner, « j'ai déjà vu des filles toutes nues, je fais ça pour l'empêcher de choper un rhume ». J'entrepris donc de la redresser légèrement pour dégager ses bras de son maillot de bain une pièce, ses deux seins globuleux se dégagèrent tout seuls alors que je baissais le haut. Je ne pus m'empêcher de la contempler ainsi, ses bras ballant sur les côtés, la poitrine à l'air et la bouche légèrement entrouverte.

Je termina son déshabillage, dévoilant une petite toison qui cachait son sexe. Ensuite je déposai sur une chaise le maillot de bain de Billie et saisis sa serviette qu'on m'avait apportée, puis commençai à la frotter un peu partout pour la sécher. Je me surpris à bander alors que j'essuyais son sexe et que je la retournait sur le ventre pour faire l'autre côté : ses fesses bronzées bien galbées m'excitaient terriblement, mais je n'osais regarder d'avantage et glissa juste la serviette une fois entre le haut de ses cuisses, puis je la remis sur le dos et déposa une couverture sur son corps avant de commencer à enrouler une autre serviette autour de ses cheveux.

 

Dix minutes plus tard, je revenais dans le local avec un téléphone : Billie ne s'étant toujours pas manifestée, et n'ayant les coordonnées d'aucun de ses proches, j'avais décidé d'appeler un numéro d'urgence.

Une standardiste me répondit. Je lui expliqua la situation depuis le début du malaise en essayant de ne pas l'affoler. À la fin, elle non plus ne semblait pas très inquiète.

-Ça arrive après de gros efforts, elle va surement se réveiller d'ici une bonne heure, vous voulez qu'on vienne la récupérer ?

-Non, c'est bon, je vais la laisser dormir ici et attendre qu'elle se réveille, je ne suis pas pressé. Il faut que je fasse quelque chose de particulier sinon ?

La femme au téléphone parlait d'un ton sérieux.

-Oui, vous pouvez surveiller sa température toute les demi-heure, prenez la température rectale, ce sera le plus facile si elle dort. Si ça descend trop bas, rappelez nous et nous viendrons la chercher.

Je salua la standardiste et raccrocha. N'osant pas trop penser à ce que j'allais devoir faire, je me dirigea doucement vers la boîte à pharmacie de secours. En fouillant entre les pansements, désinfectants et autres bandages, je découvris un thermomètre en verre tout au fond de la boîte : une fine poussière déposée dessus m'indiqua qu'il n'avait pas servi depuis longtemps. Je passai l'instrument sous l'eau tiède et revint vers Billie qui dormait toujours sur sa couchette.

-Désolé ma grande, fis-je à haute voix. Je fais ça pour ta santé.

Je renversai la jeune fille sur le côté et m'assis sur le bord en repliant tout doucement ses jambes hors du lit pliable. Je soulevai une de ses fesses dans ma main et me pencha pour regarder l'endroit où je n'avais pas osé poser mon regard tout à l'heure : son petit trou bien propre était tout serré et encore un peu mouillé. Je n'osais toujours pas penser à ce que j'étais en train de faire à cette fille. L'idée que j'allais lui ... me laissait paralysé.

« Bon allez », me motivais-je, « je le fais maintenant sinon je n'y arriverais jamais ».

La pointe du thermomètre pénétra son petit orifice, je continua de le pousser de plusieurs centimètres sans problème. Billie n'avait pas bronchée dans son sommeil.

Je laissai l'instrument une bonne minute avant de me repencher sur elle pour le sortir de son cul. La tige de verre était très légèrement salie du fait de l'endroit où je l'avais mit, je lu la graduation : 37 degrés pile. « Pas de quoi s'inquiéter, elle a juste un peu froid », diagnostiquais-je.

Je la recouvris à nouveau et posa le thermomètre sur la chaise à côté de moi, en attendant un éventuel renouvellement de l'opération.

 

 

Le réveil

 

Billie se réveilla environ vingt minutes après la prise de température, elle cligna d'abord longuement des yeux, ne comprenant pas très bien où elle se trouvait, puis finit par me reconnaître et identifier l'odeur chlorée de la piscine.

-Piouh, je suis crevée, fit-elle en baillant. Qu'est-ce qui s'est passé ?

Elle se frotta les yeux et me lança un air interrogateur. Je lui expliqua son malaise durant sa nage un peu plus tôt mais elle ne s'en souvenait plus apparemment.

-L'essentiel c'est que tu ailles bien maintenant, lui dis-je.

Elle me remercia de m'être occupé d'elle et me sourit en commençant à bouger sous sa couverture, lorsqu'elle remarqua sa nudité. Elle tâtonna rapidement ses seins, son sexe, puis ses fesses sous son drap pour se le confirmer et je m'empressai de me justifier avant qu'elle me pose des questions :

-J'ai dû te sécher pendant que tu dormais, expliquais-je. Ton maillot de bain et tes autres affaires sont ici si tu veux.

Je lui indiqua du doigt ses affaires.

-Tu m'as vue toute nue ? Me demanda-t-elle.

-Ben oui, il fallait bien pour te sécher.

Elle rougit et resta d'abord cachée sous la couverture, puis finalement elle se détendit et laissa tomber le drap sur se genoux, me dévoilant entièrement sa poitrine. Je baissa légèrement les yeux.

-Vous avez appelé les secours quand je suis tombée ? Me demanda-t-elle.

-Oui, mais ce n'était pas très grave, ils m'ont juste dit de surveiller ta température jusqu'à ce que tu te réveilles.

-Ah... ok.

Elle laissa un blanc dans la discussion, je savais à quoi elle pensait mais elle n'osait pas demander comment je m'y étais pris. Moi-même je n'osais pas lui avouer tellement c'était gênant.

Finalement elle prit l'initiative de chercher l'instrument dans le petit local autour d'elle, et le repéra rapidement. Elle observa attentivement le thermomètre que j'avais laissé traîner sur la chaise, et à la vue des petites traces restées dessus, elle comprit où je l'avais mit et devint toute émue. En fin de compte, c'était peut-être mieux qu'elle l'apprenne ainsi, et je fus content qu'elle ne semble pas m'en vouloir.

-Tu l'as mit dans mon derrière, alors ? Interrogea-t-elle toute rouge.

Je lui fis oui de la tête.

-Tu étais glacée et tu dormais, me justifiais-je. La standardiste m'a dit que c'était plus facile ainsi.

Elle se laissa retomber dans sa couchette, fit un effort pour se décontracter malgré une grande émotion qui se voyait sur son visage, et me dit avec un sourire qu'elle ne m'en voulait pas.

-C'est fait maintenant de toute façon, fit-elle. Ça me fait juste bizarre qu'un garçon s'occupe de moi comme ça. D'habitude c'est le docteur qui fait ça.

Je fus très surpris par cette remarque.

-Quoi, ton docteur te prend encore la température dans les fesses ? Demandais-je.

Elle rigola avec moi de ma question, une ambiance détendue était revenue grâce ces petites révélations.

-Oui, à chaque fois qu'il faut la prendre, expliqua-t-elle. Il est très strict, mais je préfère quand même quand c'est un jeune comme toi qui s'en occupe, avoua-t-elle.

Billie semblait attendre ma réaction face à une telle invitation. Pour bien se faire comprendre, elle se débarrassa de la couverture qui cachait ses parties intimes, puis se pencha vers moi pour me chuchoter : « Vas-y, montres-moi comment tu as fais ».

Elle venait de faire resurgir un immense sentiment de plaisir en moi, et j'avais un peu de mal à voir si elle était vraiment sérieuse.

-Tu veux que je vérifie de nouveau ta température ? L'interrogeais-je.

Elle prit le temps de répondre, s'allongeant sur la couchette en premier.

-Oui. Si on ne le fait pas, les prochaines fois qu'on se verra on ne va pas arrêter de se jeter des regards gênés pour ce qui s'est passé, il vaut mieux passer une soirée sympa ici pour oublier la gêne.

Voir ainsi Billie allongée nue sur cette couchette et me demandant de lui prendre sa température m'excitait tellement que je ne la fis pas répéter deux fois. Je pris d'une main tremblante le thermomètre qui était resté sur la chaise.

-Comme tu le désires, princesse, plaisantais-je en m'agenouillant auprès d'elle.

Je fis glisser ma main sous ses reins pour la basculer sur le côté droit, et lui écartai une fesse comme tout à l'heure pour dégager son petit trou rose, puis je rentra la tige de verre doucement de quelques centimètres dedans.

-Bravo, fit-elle, tu ne m'as pas fais mal du tout, j'ai presque rien senti.

Là-dessus on parla de ses visites chez le docteur : elle me raconta que parfois il lui faisait un peu mal quand il le faisait, et que certaines fois il lui avait mit de force tellement elle détestait ça à l'époque.

Pendant qu'elle finissait de me raconter ses histoires, je lui écarta à nouveau les fesses et en retira le thermomètre.

-C'est bon, tu n'as pas de température, lui annonçais-je.

-Ok, on fait quoi ensuite ?

-Je sais pas, ça te dirais de jouer un peu plus au docteur ce soir, ici ?

Ma question était venue comme ça, me surprenant un peu moi-même, mais je fus agréablement surpris qu'elle hoche la tête.

-Vas-y, c'est toi le docteur, fit-elle. Je t'écoute.

 

 

Le jeu du docteur

 

Une vingtaine de minutes après, je revenais d'une pharmacie qui par chance était encore ouverte à cette heure. En repassant dans le hall de la piscine j'en profita pour fermer l'entrée à clé afin qu'on ne soit pas dérangés par de petits curieux.

Billie attendait assise au bord de l'eau. Quand j'arrivai à son niveau, je la pris dans mes bras et elle posa un baiser sur mes lèvres. Ses seins s'appuyaient sur mon torse et elle baissa mon short en me demandant de me mettre à l'aise moi aussi.

C'est ainsi qu'on regagna le local, tout les deux nus, avec mon sexe bien dressé devant moi. Billie n'avait pas regardé le contenu du sac à pharmacie que je tenais pour en avoir la surprise, et je sortis en premier une boîte de suppositoires à la glycérine que je déposai par terre.

-Attends, fit-elle en tendant sa main avant que je ne commence. J'aimerais que tu me domines en faisant le docteur, c'est un truc qui m'a toujours excitée.

Je lui demanda un peu plus de précision sur ce qu'elle voulait exactement.

-Ben moi je joue à la patiente qui ne veux pas son traitement et toi tu te débrouilles pour le faire quand même.

-Tu veux que je fasse ça de force, tu es sûr ?

Elle hocha simplement la tête.

Je pris alors un ton un peu plus autoritaire pour me glisser dans le rôle qu'elle m'assignait.

-Bon allez Billie, montres-moi tes fesses pour commencer.

-Non, je veux pas, ça va faire mal, j'en suis sûre.

Elle jouait bien son rôle, son intonation donnait un sens réaliste à la scène. Je sortis du sac plastique un pot de vaseline que j'ouvris et posa pas loin de moi.

-Désolée, ma grande, c'est pour ton bien. Tu es constipée il faut que je te mette ton médicament.

Je pris la jeune fille dans mes bras et elle essaya de se dégager avec des « non » plaintifs. Après une bonnes minute de débattements énergiques, j'arrivai enfin à la placer dans une position pratique dans laquelle je la maintenais fermement : couchée sur le ventre et coincée entre mes cuisses, ses petites fesses étaient à ma merci. Je trempai mon doigt dans le pot de vaseline et le dirigeai entre ses fesses. Mon index rencontra une légère résistance devant son trou serré mais le lubrifiant fit son travail et je sentis mon doigt glisser dans cet orifice chaud.

-Non, pas dans mon cul, se plaignait-elle.

Je sentais son petit muscle rond se serrer sur mon doigt alors que je le retirais.

-Allez, un petit suppositoire maintenant.

-Non, je veux pas de suppositoire. Ça pique !

Ignorant ce qu'elle disait, je sortis un des médicaments de la boîte et l'introduisis de force dans son derrière.

-Calmes-toi, encore un deuxième et c'est bon.

Même traitement que pour le premier, j'espérais que je ne lui faisais pas mal à lui violer son petit trou de cette façon, même si c'est elle qui le désirait.

Je dû m'y mettre ensuite à deux mains pour réussir à écarter ses fesses et vérifier que les deux suppositoires ne ressortaient pas, mais elle n'arriva pas à les expulser. Je décidai donc de lâcher prise pour la laisser un peu se calmer.

-Restes ici, lui dis-je. Je vais te rajouter un lavement avant que tu n'ailles aux toilettes.

-Non, s'il te plaît, suppliait-elle.

Elle assista sans rien faire à la préparation du matériel, puis au moment de commencer elle recommença à faire une scène.

-J'ai besoin d'aller aux toilettes, pas la peine d'un lavement en plus.

-Chut, Billie. Arrêtes de faire l'enfant.

Je grimpai sur la couchette où elle s'était assise et la poussai doucement en arrière pour l'allonger sur le dos. J'avais posé le canule bien lubrifié pas loin de moi au cas où il faudrait lui planter contre son gré. Je saisis chacune de ses chevilles fermement et les souleva pour les ramener vers son ventre.

-Voilà, fis-je. Maintenant cesse de te crisper ainsi, je vais y aller.

La canule était terminée par une forme ronde plus volumineuse pour empêcher l'expulsion, je la posa contre son anus.

-Allez, pousses comme si tu étais aux toilettes.

-Non, ne me fais pas de lavement, pitié.

-Bon allez...

-...Aïe...

Je venais de lui rentrer la canule en force et en profita pour ouvrir le robinet du bock.

-Désolé Billie, je devais le faire moi-même si tu ne m'aidais pas.

-S'il te plaît, ça presse trop, je dois y aller.

-Non, fis-je, catégorique. Tu attends la fin du lavement.

Elle tenta un moment de retirer elle-même la canule que je tenais, mais je tint bon et lui donna immédiatement une fessée qui eut pour effet de la calmer tout de suite.

Le reste de l'opération se déroula sans problème, après l'avoir libérée de la canule, je la porta dans mes bras ; une main soutenant également ses fesses ; jusqu'aux WC de la piscine où elle put se soulager tranquillement.

Une fois ressortie, je lui annonça que c'était tout ce que j'avais prévu pour elle. Elle se plaqua alors contre moi et me chuchota :

-Merci, c'était vraiment excitants comme préliminaires.

Mes doigts se dirigèrent instinctivement vers son sexe, et les siens vers mon pénis. On retourna dans le local se coucher sur des matelas en mousse pour faire l'amour. Durant nos ébats je sentis un doigt se planter dans mon cul.

-Petite vengeance, précisa Billie avec un sourire et en retirant son doigt pour ne pas me mettre mal à l'aise.

On continua de faire l'amour, puis un moment elle se retourna, le ventre contre le matelas, et attendit de se faire sodomiser. Je rentrai sans souci dans son orifice à présent tout propre, puis me mis à remuer jusqu'à l'éjaculation finale dans ses fesses.

-Tu as vraiment fait fort, j'ai mon trou qui me brûle un peu, remarqua-t-elle.

-Désolé, j'aurais dû utiliser un lubrifiant.

Elle se retourna face à moi.

-C'est pas grave, c'est vraiment bien comme soirée.

 

 

Le matin

 

J'ouvris les yeux et fut aussitôt aveuglé par une forte lumière. M'habituant petit à petit en clignant des yeux, je repris mes repères et reconnu le local de la piscine. L'endroit me laissait en tête d'excitants souvenirs de la veille.

Blottie contre moi, la douce Billie dormait encore profondément, je pouvais sentir son souffle régulier sur ma poitrine. Ma montre qui trainait pas loin de moi m'indiqua 6h30 du matin. Il faisait légèrement froid dans la salle, ce qui fut confirmé par la peau de Billie qui laissait apercevoir de petits frissons.

Je me dégageai de ses bras sans la réveiller pour me relever, et observai la petite salle en désordre :

Mes vêtements et les siens étaient en boule dans un coin, et nos jouets sexuels de la veille : un nécessaire à lavement, une boîte de suppositoires, un pot de lubrifiant et un thermomètre traînaient également par terre.

Billie, dans son sommeil, changea de position pour se retrouver allongée sur le ventre, les pieds espacés d'environ trente centimètres : une position pas très élégante pour une jeune fille mais qui gardait un charme certain.

Je m'occupai de ramasser tout ce qui traînait sur le carrelage et rassemblai tout ça au même endroit, puis je pris un peu de temps pour contempler Billie qui dormait encore.

Son anus était légèrement visible quand on se plaçait au-dessus de ses fesses entrouvertes et me donnait envie d'y plonger mon doigt, mais je m'abstins car je me doutais que ça ne lui plairait peut-être pas trop de se faire réveiller par un doigt dans le cul.

 

Je me recoucha donc contre elle pour ne pas qu'elle ait froid en attendant qu'elle se réveille. Au bout d'un moment elle finit enfin par bouger, et constatant ma présence, se retourna sur le dos pour me faire face. En guise de bonjour, elle glissa ses bras autour de mon cou et me posa un long baiser sur la bouche, suivit de plusieurs petits dans le cou et sur le torse. On commença ainsi cette journée par un long câlin érotique, à la fin duquel Billie se trouvait sur le dos les jambes relevée : une position qui laissait clairement voir son anus. Je mis de la salive sur mon doigt et commença à titiller ce petit trou sec et resserré pour le lubrifier, puis attrapai la boîte de suppositoires et en plaçai un devant son orifice. Elle qui avait les yeux fermés jusqu'à présent reconnu le toucher froid et gélatineux :

-Non, pas de suppo le matin, s'il te plaît, fit-elle avec une légère grimace.

J'avais très envie d'appuyer, et après un petit « trop tard », j'enfonçai le médicament dans son intestin.

-Hé ! Se plaignit-elle. Je t'avais dit non.

-Il faut bien les finir, Billie.

Elle avait à présent l'air contrariée. Elle se releva, me prit la boîte des mains, et me regarda à nouveau.

-Couches-toi et montres-moi tes fesses, m'ordonna-t-elle.

Cette phrase me rappelait étrangement mon enfance.

Depuis tout petit, j'avais toujours été réticent face aux suppositoires, les derniers m'avait été donnés il y a des années par ma mère.

-Euh ... désolé de te l'avoir fait, ... mais j'ai toujours eu peur d'en recevoir, fis-je sans pour autant la convaincre.

-Tanpis, me répondit-elle. C'est donnant donnant, j'en prends un, tu en prends un aussi.

Et elle commença à ouvrir le pot de vaseline pour y tremper son doigt dedans.

J'étais à court d'argument. Elle avait raison, au fond, je méritais d'en recevoir après ce que je venais de lui faire.

-Contrairement à toi, ça ne m'excite pas trop de recevoir un suppo de force, lui fis-je remarquer.

-Alors laisses-toi faire, et je serais pas obligée de le faire de force.

Je finis par me résigner et me retourna pour lui montrer mes fesses.

-Voilà, c'est bien comme ça, fit-elle d'un ton mesquin.

-Fais attention quand même.

Elle commença par me lubrifier abondamment pour m'apaiser un peu. J'avais un peu honte de lui avoir fait part de ma crainte du suppositoire, Billie soignait tout ses gestes et me donna finalement beaucoup de plaisir pendant cette lubrification.

-Attention, je vais le mettre. Pousses bien fort, fit-elle après avoir retirer son doigt.

Je poussais comme elle me demandait et sentis le médicament froid se poser contre mon anus. Billie l'enfonça tellement lentement que je pouvais sentir la progression de son doigt dans mon derrière. Elle s'appliqua à le pousser assez loin pour ne pas que je le fasse ressortir et retira son index.

-Voilà, on est quitte maintenant, fit-elle avec le sourire et revenant dans mes bras.

On refit ensuite l'amour, et durant nos ébats Billie s'absenta en première pour aller aux WC, puis je la suivis juste après. Ce fut ensuite le moment de quitter la piscine avant que d'autres gens ne viennent à l'ouverture.

-Tu peux passer chez moi, fit Billie en recoiffant ses cheveux en bataille devant un miroir.

-Tu vis seule ?

-Non, j'ai une colocataire, elle s'appelle Sophie. Tu verras elle est très gentille, elle ne nous dérangera pas.

 

 

La colocataire de Billie

 

Je suivais Billie dans les rues avec mon sac sur les épaules, pour venir dans son quartier, on avait prit deux métros. J'essayais de retenir le mieux possible le chemin si je devais revenir seul une autre fois. Finalement, elle ouvrit une porte en bois et monta un escalier jusqu'au troisième étage.

En entrant, je découvris Sophie entrain de prendre son petit déjeuner devant la télévision. Elle vint à notre rencontre et Billie nous présenta. Sophie faisait une tête de moins qu'elle et avait de long cheveux noirs et lisses. Elle portait encore un pyjama. Elle était toute aussi mignonne que Billie, mais semblait à première vue un peu timide.

Une fois dans sa chambre, Billie me chuchota dans l'oreille :

-Tu la trouves mignonne, Sophie ?

-Ben oui, elle est jolie, pourquoi ?

Elle sembla chercher ses mots.

-Ça te dirais de lui faire un bilan médical à elle aussi ? Hier soir elle ne se sentait pas super en forme et prévoyait peut-être d'appeler un médecin, alors je peux lui dire que tu peux t'en charger.

-Mais je ne suis pas médecin, répliquais-je. Et tu veux que je lui fasse quoi ?

-Fais semblant de l'examiner un peu, t'as déjà été chez un docteur, non ? Puis tu trouves un prétexte pour lui faire ce que tu m'as fais hier.

-Et si elle ne veut pas ?

-Dans ce cas un peu de vaseline devrait aider je crois, fit-elle avec son sourire mesquin.

 

Vingt minutes plus tard, je m'essayais sur le rebord du lit de Sophie. Convaincue rapidement par Billie, elle était déjà couchée sur le dos, toujours en pyjama. Billie attendait sur le seuil de la porte.

-Bon, j'ai pas emporter avec moi tout mon matériel de toubib mais on va toujours voir ce qu'on peut faire, prévins-je. Tu te sentais comment hier matin quand ça a commencé ?

-Un peu fatiguée, et quelques maux de ventre aussi, avant de dormir.

-Ok, ben on va déjà commencé par de petites vérifications.

Je me penchai sur son visage et ouvris ses yeux pour les observer, je lui demandai d'ouvrir la bouche et de dire A, puis je manipulai doucement sa tête sur les côtés pour regarder ses oreilles.

Ensuite ce fut un peu plus sérieux.

-Je vais regarder ton ventre et je prendrais ta température après, lui dis-je.

Je remontai alors son chemisier jusqu'au cou, observant ses magnifiques petits seins : un plus petit gabarit que ceux de Billie mais qui gardait tout son charme. Heureusement, elle ne semblait pas embarrassée par ce geste, probablement parce que toutes les filles se montrent ainsi devant un docteur.

-Tu as mal vers où ? À la poitrine ou en bas ?

-Je sais plus, je n'ai n'ai plus très mal maintenant.

-On va un peu examiner ça alors.

Je lui toucha les seins en premier, devant le regard de Billie qui exprimait clairement le désir : « ce soir c'est mon tour » pensait-elle sûrement. Puis mes mains glissèrent vers son ventre, pressant certains endroits avec des gestes qui se voulaient professionnels. « Rien de spécial visiblement », marmonnais-je.

« Bon allez c'est le moment de passer à la température ».

Je pris le pantalon de Sophie et tira dessus légèrement.

-Hé attends, prévint-elle, je suis toute nue là-dessous.

-Ne t'inquiètes pas, c'est normal, je dois prendre ta température.

-Ah ... ok alors.

Elle ne semblait pas très réjouie par la nouvelle mais écouta ce que je lui dis. Je finis donc de retirer entièrement son pantalon, et donc de la déshabiller, et je le posai à côté de nous sur le lit. Contrairement à Billie qui avait une fine toison cachant son sexe, Sophie était épilée intégralement.

-Tu as eu des rapports sexuels ces derniers jours ? Demandais-je.

-Non, ... je suis encore vierge, répondit-elle après une hésitation.

Je hocha la tête.

-Ok, maintenant tournes-toi, je vais prendre ta température.

Elle me demanda alors si elle devait se tourner sur le ventre ou sur le côté simplement.

-Comme tu préfères, du moment que je puisse planter le thermomètre.

Elle se mit sur le ventre et me montra son fessier bien ferme. Pendant qu'elle se préparait, j'avais sorti la vaseline et en avait étalé sur mon doigt. J'écartai alors ses fesses avec deux doigt, et frotta son anus tout serré pour l'assouplir un peu.

-Je vais te mettre un peu de vaseline avant.

J'enfonçai progressivement mon doigt dans son trou qui se resserrait sur moi et Sophie ne bronchait pas. Elle avait sa tête enfouie dans ses draps et je ne pouvais distinguer si elle éprouvait de la gêne, du plaisir, ou peut-être un peu des deux.

Après avoir saisi l'instrument, je dégageai à nouveau l'anus de Sophie et le plantai dans son petit trou lubrifié.

Billie s'était rapprochée du lit pour observer l'opération de plus près.

-Tu n'as pas eu mal ? Demanda-t-elle à sa colocataire.

Celle-ci hocha négativement la tête. Elle attendit tranquillement que je retire l'instrument.

Je pinça la tige de verre et l'extirpa délicatement de son trou de balle.

-Tu n'as pas de température, lui annonçais-je. Je devrais peut-être te faire un dépistage pour les maladies de ventre.

Billie intervint :

-Je peux y avoir droit aussi ?

-Bien sûr. Il faut que vous vous déshabillez entièrement toute les deux pour ça.

-Déjà fait, fit remarquer Sophie en relevant la tête.

-Je suis prête dans un instant, fit à son tour Billie en commençant à retirer son chemisier.

Sophie se redressa en position assise et sourit en voyant nos regards complices : elle venait de commencer à comprendre le jeu qui s'installait entre nous trois.

 

 

Le dépistage

 

Les deux jeunes filles, suite à mes consignes, s'étaient déshabillées et attendaient maintenant sur le lit que je commence ce fameux dépistage.

-Bon allez, je commence par toi Billie, fis-je en m'approchant d'elle.

Je lui expliqua que pour ce dépistage il lui était nécessaire de subir un toucher vaginal, et Sophie, même si elle s'était elle aussi prise au jeu du docteur, rougit comme une tomate en entendant ces mots : elle aussi devrait faire ce dépistage après.

Billie, pour montrer le bon exemple à sa colocataire, se coucha en arrière et écarta les jambes. Dans cette position, ses lèvres étaient légèrement écartées. Je m'approcha d'elle, posa une main sur sa cuisse, et commença à enfoncer deux doigts dans son intimité, sous le regard curieux de Sophie.

Au bout de quelques mouvements seulement, son cœur se mit à battre assez fort pour qu'on puisse l'entendre.

-Essayes de te calmer un peu, demandais-je à Billie.

-Désolée, fit-elle, le souffle court.

Je continua à la provoquer en tripotant ses parois vaginales, lui faisant même faire un léger gémissement, puis retira mes deux doigts humides de son sexe.

-C'est bien Billie, aucun problème, conclus-je.

Sophie me regardait à présent avec insistance. La scène précédente avait dû l'exciter car ses petits seins pointaient et son sexe était humide.

-Oui, c'est à ton tour, maintenant, fis-je pour répondre à la question qu'elle avait en tête.

Recopiant la méthode de Billie, elle se coucha sur le dos et écarta ses cuisses.

Je maintint cet écartement de mes deux mains, mes pouces écartant doucement son sexe.

-Tu m'as dit que tu était encore vierge, Sophie...

Mes pouces glissèrent contre sa peau, vers le bas, et écartèrent légèrement son entre-fesse pour laisser apercevoir son anus.

-...dans ton cas il va falloir passer de ce côté, ajoutais-je. Sinon je risque de déchirer ton hymen.

J'attendis sa réaction.

-Euh ... c'est vraiment nécessaire de passer par le cul ? Demanda-t-elle, peu enchantée.

-Oui, il faut que je palpe ton ventre de l'intérieur, répondis-je. Si on ne fait pas ça par le vagin, il faut passer par le cul, précisai-je.

Billie s'était levée du lit et venait de poser ses mains sur mes épaules.

-Tu as besoin d'une assistante ? Me demanda-t-elle.

-Oui, si tu veux.

Je trouva rapidement une tâche pour elle. En regardant dans mon sac à dos, je lui tendis une boîte.

-Il faut d'abord qu'elle ait aux toilettes. Mets-lui un ou deux suppositoires pour l'aider, ajoutais-je.

Elle hocha la tête, puis me prit la boîte, contente, et se retourna à nouveau vers sa colocataire. Cette dernière eut un geste de recul.

-Hé ! Je n'ai pas dit oui ! Fit-elle remarquer.

-T'inquiètes pas, c'est juste un petit suppo, lui répondit Billie en grimpant sur le lit à genoux.

Sophie fit la moue :

-Mais j'ai jamais aimé les suppositoires.

Billie, faisant semblant de ne pas entendre, attrapa Sophie par la taille, glissa une main sous ses fesses, et la retourna.

-Il faut quand même en prendre un, pour être toute propre pour le dépistage.

Elle tenait maintenant Sophie fermement sur ses genoux bien que cette dernière n'opposait visiblement pas de résistance, et appliqua un peu de vaseline sur son doigt qu'elle enfonça doucement mais entièrement dans le petit trou de Sophie.

Je regardais tout ça depuis le lit avec beaucoup de plaisir, surtout quand Billie appuya le médicament sur l'anus de sa colocataire. En quelques secondes le suppositoire fut englouti dans son intestin.

Billie recommença l'opération, non pas avec un, mais deux suppos supplémentaires.

-C'est bon, je crois qu'elle a eu sa dose, fis-je en posant à mon tour une main sur la fesse de notre patiente.

-Ok, dit-elle en la relâchant.

Sophie se remit aussitôt assise sur le lit avec nous, comme si elle voulait cacher ses petites fesses d'un autre traitement de préparation.

-J'espère que ça ne va pas me faire mal, dit Sophie en nous regardant.

-Ne t'inquiètes pas, la rassurais-je. Tu vas juste avoir très vite envie d'aller aux WC.

En effet peu de temps après je remarquais la jeune fille en train de changer souvent de position.

« Je m'absente un moment », dit-elle en quittant la chambre. Enfin seul avec Billie, celle-ci m'enlaça au cou et commença à me déshabiller. Je l'embrassai et reçu un doigt dans le cul assez douloureux.

-Aie ! Prévient s'il te plaît avant de mettre le doigt.

-Désolée, je voulais pas te faire mal.

Elle retira son pouce de mon petit trou et je remonta mon pantalon avant que Sophie ne revienne avec nous. Ensuite je commença à lubrifier mon doigt pour être prêt à son retour.

 

-Allez on y va, fis-je quand j'aperçus la jeune fille qui ouvrait la porte de la chambre. Tu as réussi à évacuer ?

Elle confirma d'un signe de tête.

-Ok, ben remets-toi en position, je vais commencer.

Elle s'allongea sur le ventre sur lit, les jambes dépassant et traînant par terre. Je dégageai son anus d'une main et posa mon doigt dessus, puis je l'enfonçai doucement dans son muscle chaud qui se serrait sur moi. Je mis un deuxième doigt, lui arrachant un léger gémissement, et poussai le plus loin possible pour la palper.

-Ça commence à faire mal, fit-elle avec une grimace en retournant sa tête.

-C'est bientôt fini.

Je retira mes doigts l'un après l'autre et la laissa souffler un coups.

-Bon voilà, je vois pas de problème, je pense plus que tu ais mal au ventre à présent, lui fis-je. Tu devais juste être un peu constipée, et les suppositoires t'ont soignée.

-Ok, merci de m'en avoir mit alors.

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